Si je pouvais, j’irais foutre le feu à l’Elysée, à l’assemblée et à Matignon. Je cramerais tous ces gros porcs, ces gros bourges qui se gavent devant ceux qui crèvent la dalle. Toutes ces baltringues du PS et du PCF, tous les blaireaux de l’UDF et les fachos de l’UMP et du FN. Ils mériteraient bien tous des coups de batte dans la tronche. Je n’épargnerais pas les pantins de la LCR, de LO et du PT, ni les Verts et tous ceux qui participent à la politique spectacle de la Vème République et du capitalisme. Des coups de latte aussi.
Si je pouvais, j’irais braquer toutes les banques où se trouve le fric que les bourges se sont appropriés sur le travail des prolos. Je volerais tous ce fric pour le redonner dans les quartiers à nos familles. Je braquerais la Banque Mondiale, le FMI, la FED et la BCE pour le redonner aux soi-disant pays sous développés.
Si je pouvais le faire, ce sera avec l’appui d’une armée révolutionnaire et on butera tous ces bâtards de bourgeois, tous ceux qui ont le pouvoir et qui en profite. Tous ceux qui capitalisent sur notre gueule, on les maraverait et on les donnerait à bouffer aux chiens. Tous ceux qui déclenchent des guerres et massacrent des enfants, on les enfermerait jusqu’à la mort.
Si je pouvais le faire, ce sera avec l’appui d’une armée révolutionnaire et on redonnerait le pouvoir aux conseils ouvriers et paysans. On instaurerait le communisme international et on enverrait les capitalistes et les fascistes sur la lune. Qu’ils aillent s’exploiter entre eux.
Si je pouvais, je ferais la révolution prolétarienne sans violence. Mais c’est impossible, ils ont les armes et les bombes nucléaires. Il faudra se battre quoi qu’il arrive. La non-violence c’est pour les cathos et les bobos. Les vrais prendront les armes et liquideront ce système. Ca fait des années qu’on accumule la rage et la haine.
Si je pouvais, je raserais les villes et on vivrait tous à la campagne. On aurait tous une maison et un bout de terre. Je raserais toutes ces cités où on nous entasse comme des bêtes en cage et je raserais toutes ces zones industrielles qui balafrent la nature, qui nous niquent la santé.
Si je pouvais le faire, ce sera avec l’appui d’une armée révolutionnaire constitués des prolos les plus motivés pour cramer ce vieux monde. Pour construire une nouvelle façon de vivre. Pour établir la liberté, la solidarité et l’autogestion généralisée. Pour que tout le monde soit heureux de se lever le matin et pas se faire chier dans un taf de merde.
Si je pouvais le faire, ce sera avec l’appui d’une armée révolutionnaire sans pitié et sans peur. Nous n’avons rien à perdre dans ce monde dégueulasse ? Nous avons tout à gagner à changer de mode de vie. Aujourd’hui nos vies ne valent rien, nous sommes à la merci des capitalistes. Demain ces chiens pleureront leur mère de nous avoir exploités.
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